Froncles et Buxières deux villages jusqu'alors anonymes dans la grande bousculade médiatique de ces temps nouveaux. Qu'y avait-il d'écrit jusqu'alors sur ces lieux ignorés de la vallée à 50 kms de l'endroit où la Marne prend sa source ? Rien qui puisse leur donner une existence dans l'Histoire avec un grand H. Et pourtant on y a vécu et travaillé comme partout ailleurs, avec des particularités qui leur donnent une identité propre, celles depuis le milieu du 18ème siècle jusqu'en 1990, d'une activité métallurgique quasiment ininterrompue, autour de la fabrication de la tôle. Ce blog est ouvert pour porter à la lumière avec les écrits historiques et romancés de Monique et Christian Cardot, l'écho du passé avant qu'il ne s'éloigne.
Commentaires sur Froncles et Buxières deux villages jusqu'alors
- Bonjour Monique et Christian, ok pour discuter lorsque le temps me le permet, je suis Président départemental de la randonnée pédestre, alors les relations que nous avons sont importantes pour la mise en valeur du territoire tout en respectant le developpement durable auquel nous appartenons, vous voyez la randonnée n'est ^pas uniquement que de la marche, nous sommes a la Fédération Française de la Randonnée Pédestre
notre site www.randonneehautemarne.fr - Et voici les Pâquottes (presque) reconstituées à travers mon boouquin et internet puisque je suis en contact avec Germaine et Robert.
Toujours beaucoup d'activités et de responsabilités ! J'ai regardé le site de randonnée et je vois qu'au bureau il y a MF Dasriaux ?
Je me permettrai de te contacter quand j'aborderai la période des nouvelles implantations dans l'usine. À partir de quand toi déjà ?
Amitiés
Monique - Monique Bonsoir, je suis rentré aux Forges en 1958 debut Janvier, j'ai pu passer 33ans de vie industriel, et j'ai bien connu les mutations dans les ateliers, de la tolerie à la forge à froid, la montée nouvelle du syndicalisme avec ses hauts et ses bas a partir de 1968 et pour moi 1969, les tensions , le paternalisme et tout son travail de sape pour les meilleurs qui ne voulais pas être dans le "moule"ayant été touché de près je sais de quoi je parle, entre les bénis oui oui et les révoltés il y avait toute une frange de personne entre ces deux extrèmes.
Les changements de propriétaire, les nouveaux patrons, la chasse ou l'exclusion des anciens "maitres"de la boue et des valeurs et il a fallut survivre a tous çà et avaler des couleuvres parfois, subir des trahisons et de vexations, de quoi remplir un livre.une biographie pourquoi pas ,
BISES Monique. Claude - T'en fais pasBonjour Claude,
Te fais pas de souci pour le sfautes, c le lot d'internet qui n'est pas fait pour l'orthographe. Ici ce qui compte c'est ce qui se dit. Et je vois que le premier réflexe que tu as en rapport avec l'usine c'est ce que tu as subi en tant que syndiqué. Je parlerai de ça dans ma rubrique sociale, c'est prévu, j'ai des documents. Tu es entré aux forges en 58 qq années après la mise en route du quarto et donc en même temps que l'installation des nouvelles fabrications, en premier la tôlerie et les ressorts je crois. Si j'ai besoin de précisions ou de corrections je ferai donc appel à toi.
A plus. Amitiés. Monique des Pâquottes. - J'ai eu accès aux archives dans les années 1990 au temps de BSK. Je me suis surtout arrêtée sur celles qui restaient du quarto après son départ. Tout était dans des caisses je ne pouvais tout consulter j'y serais restée une éternité. Par contre j'ai pu consulter tous les petits journaux de l'usine que qqu'un avait gardés et j'ai (je ne sais plus comment) aussi des tas d'infos concernant les activités syndicales des années 70. J'ai d'ailleurs globalement beaucoup plus d'infos que je n'en aurai besoin. J'ai par ex tout le dossier de la grève de 54.
Salut Claude faut que j'accélère, entre le quotidien et les sollicitations de mes mômes je ne trouve pas assez de temps pour travailler sur mon second bouquin. J''aborde les années 30 donc tu vois y'a encore du boulot, ça n'avance pas vite.
Amitiés, Monique
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Le Nom ou Pseudo et mon nom d'origine en 1489 dans le Maine et Loire.
c'est peut-être un commencement de correspondance entre nous, entre ancien Fronclois,
Claude livenais